Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
HOLY GOSSIP
7 août 2020

[IG repost] #FreeBritney : coup monté vocal, boule à Z, tutelle & Cie

*Article publié sur Instagram (@lewis_kouassi_) le 13 juillet 2020 (modifié le 7 août 2020).

Dans le top 10 des vies de stars de m*rde, Britney Spears occupe une place de choix. Pour beaucoup, elle rime avec 2-3 classiques oldschool comme Baby One More Time ou Toxic et bien sûr : la boule à Z ! Le hashtag #FreeBritney a resurgi la semaine dernière et a de nouveau envahi les réseaux sociaux, notamment Twitter, où il est immanquable. Cela fait quelques mois que je veux m’exprimer sur le sujet, j’avais envisagé de le faire au moment du confinement avant ma décision de fermer mon blog. Avec la réminiscence du #FreeBritney, bon nombre d’internautes mais aussi personnalités publiques s’expriment sur le sujet (Miley Cyrus, Rose McGowan qui lui a même dédiée Sirene sur son album Planet 9, etc.), notamment en France où des influenceuses telles que Manon de Dairing Tia en ont parlé. Je ne sais pas si je vais arriver à être exhaustif, il y a tant à dire sur la question que l’idéal serait de pondre une biographie mise à jour de Spears, « made in 2020 ».

Tout d’abord, le fameux hashtag a refait surface à la suite de la publication d’une vidéo Tik Tok plutôt étrange. Où l’on voit Britney Spears faisant je ne sais combien de fois des allers-retours devant sa caméra ainsi qu’arborant un bouquet de fleurs. Avant d’avoir partagé cette vidéo, Spears en avait publié une précédente où elle chantait les louanges de la communauté LGBTQI+ et lui faisait part de son soutien. Dans les commentaires de cette même vidéo, un internaute lui a suggéré de porter du jaune dans sa publication suivante si elle avait besoin d’aide. Ce que Brit-Brit a fait dans la « vidéo du bouquet de fleurs et des va-et-vient ». Pour beaucoup cela ne relève pas de la coïncidence. Le hashtag #FreeBritney a connu une ascension au point qu’il devienne un véritable mouvement l’année dernière, donnant même lieu à des manifestations de la part de ses fans les plus fervents. La mère de Britney aurait elle-même liké des publications à ce sujet, supprimées depuis.

Britney-Spears-stars-childhood-pictures-3278512-1324-2055

Photo de famille à la sauce Spears.

En janvier 2019, l’icône pop des années 2000 annule le second spectacle prévu dans le cadre de sa résidence dans la ville du vice qui s’intitulait Domination. Elle annonce sur Instagram qu’elle compte faire une pause dans sa carrière pour soutenir son père, atteint de graves problèmes au colon. En avril 2019, on apprend dans de nombreux médias que Spears a été internée en psychiatrie pour « détresse émotionnelle » car elle vivrait très mal la santé fragile de son père. Durant la même période, un podcast animé par deux comédiennes qui s’amusent à commenter le compte Instagram de Britney baptisé Britney’s gram reçoit un enregistrement d’un ex-employé de l’entourage juridique de la star ayant notamment travaillé dans le cadre de sa tutelle. L’anonyme révèle que son internement aurait en fait démarré en janvier 2019 et non au printemps de la même année. Que le fait qu’elle ait été hospitalisée parce qu’elle vivrait mal la situation de son père ne serait qu’un prétexte : son père lui aurait en fait imposée de prendre un traitement médicamenteux et l’aurait mise en garde, à savoir que si elle refusait de s’y plier, elle devrait annuler le spectacle Domination en mettant cela sur le compte de sa santé fragile et du soutien qu’elle voudrait lui apporter.

068

Britney Spears au Esther's Haircutting Studio dans le quartier de Tarzana à Los Angeles, en février 2007.

Depuis 2008, après la descente aux enfers on ne peut plus médiatisée de Spears, la chanteuse est placée sous la tutelle (« conservatoship » au pays de l’Oncle Sam) de son père, Jamie. D’abord pour une durée temporaire, celle-ci devant s’arrêter après la tournée Circus en 2009. Hélas pour Britney, plus de 10 ans après les faits, elle est toujours sous le contrôle de son père. Ce genre de prises en charge juridiques serait généralement mis en place pour venir en aide aux personnes présentant par exemple d’importantes difficultés d’autonomie, comme une forte sénilité. Il serait inhabituel qu’une femme de l’âge de Britney Spears, qui approche désormais la quarantaine, en fasse l’objet. Britney n’aurait pas le droit de conduire seule, n’aurait pas le droit de vote, elle n’aurait pas le droit d’avoir son propre téléphone portable et bien d’autres restrictions. Il existe une avalanche de légendes urbaines et spéculations sur cette histoire et sur Britney en général, elle a toujours été la source de fantasmes et théories en tous genres. Mais si réellement, Britney est soumise à ces impératifs, pourquoi a-t-elle continué à sortir des albums, des parfums, donner des centaines de représentations en playback à Vegas ? Pourquoi est-elle partie en tournée à maintes reprises, apparue dans des séries ou émission comme X Factor en tant que jurée, depuis plus d’une décennie? Si elle serait trop fragile pour avoir le droit de vote, elle ne le serait pas pour donner une flopée de shows à Las Vegas ? Ce que beaucoup pensent, et à juste titre, c’est que Britney Spears est une poule aux œufs d’or. L’ampleur du contrôle dont elle est la cible est à mon sens une manière de préserver la marque Britney, qui pour rappel avait été démolie par la principale intéressée en 2007, quand elle s’était rasée le crâne devant une meute de paparazzis au bord de l’orgasme – ils ne pouvaient pas espérer meilleur scoop. Il existe d’ailleurs bien des rumeurs sur cette histoire : on a souvent dit qu’elle aurait voulu dissimuler les traces de drogues qui auraient pu subsister dans ses cheveux dans le but de mettre les chances de son côté dans la bataille juridique pour obtenir la garde de ses enfants. Quoiqu’il en soit cet épisode a à jamais entaché son image publique, si dans certaines cultures on tolère que les femmes soient rasées (comme chez les Massaï) ; en Occident, on ne peut que douter de votre état de santé mentale si vous êtes une femme qui s’est rasée la tête. On se souvient aussi, évidemment, de ce qui s’est déroulé quelques jours plus tard, quand on a vu Spears frapper un paparazzi ainsi que sa voiture armée d’un parapluie – ça ne s’invente pas.

43f7284f32f74d79e51ab0f5ea52559f

Spears à Walt Disney World, en juin 1999.

Si on oublie son allure de Barbie et sa voix parlée de môme ricaine de 8 ans, je pense que Spears n’est pas aussi idiote que le décrètent certains. Selon moi, bien des ingrédients étaient réunis pour aboutir à un pétage de câble anthologique. Tout d’abord la supercherie sur sa voix, qui certes est une théorie, mais qui toutefois me semble être des plus plausibles. Si vous regardez des prestations de Britney Spears enfant – puisqu’elle a commencé très jeune à l’instar d’un Michael Jackson, beaucoup accusant ses parents d’avoir été cupides en ayant misé sur leur gosse pour palier à leurs problèmes financiers ou sa mère d’avoir projeté ses rêves de gloire sur sa gamine - vous vous apercevrez qu’elle avait une voix bien plus grave que ce qu’en a fait l’industrie musicale (cette fameuse voix nasale de poupée gonflable). Comme lors de sa célèbre apparition dans l’émission Star Search, l’équivalent ricain de notre Ecole des fans locale où elle interprète une chanson de Judy Garland mais également le classique country Love can build a bridge des Judds, où elle a notamment cette montée spectaculaire sur le pont du morceau. Avant d’intégrer plus tard l’écurie Disney – celle de la télévision et pas des dessins animés, qui a bousillé bien des gosses, comme Lindsay Lohan pour ne citer qu’elle - grâce à sa participation au Mickey Mouse Club, aux côtés de Christina Aguilera, Ryan Gosling ou encore son futur compagnon : Justin Timberlake.

e4f38fb13be4d0e0150a2443106ac28f

Aux MTV Video Music Awards en août 2001.

Au tout début de sa carrière, Britney chantait en live, tout en se forçant tant bien que mal à mimer cette « fausse voix » imposée par son label. À l’époque, plusieurs voix puissantes trônent d’ores et déjà dans les charts : Whitney Houston et Mariah Carey bien sûr, mais aussi l’ex-collègue de Spears au Mickey Mouse Club, Christina Aguilera. Le label Jive Records décide alors de miser sur un plan marketing différent pour vendre la marque Britney. Sur son premier opus Baby One More Time, paru en 1998 quand elle n’avait que 17 ans, on peut encore percevoir un aperçu de sa voix véritable à la sauce country voire soul. Britney commence lentement mais sûrement à être amplement marketée comme tout produit du star-system, toutefois peut-être qu’on est allé trop loin avec elle, peut-être que contrairement à d’autres elle l’a particulièrement mal supporté. J’opterais pour les deux. Du temps du premier album, Britney n’est pas toujours tout à fait blonde platine, on perçoit encore un zeste de la môme ricaine du terroir. C’est à partir du second album Oops !... I Did It Again en 2000 que son entourage professionnel va continuer d’abonder dans le façonnement de cette image de Barbie déjà amorcée du temps de Baby One More Time (on ne peut pas ne pas mentionner par exemple, le shooting pour le mythique Rolling Stone en 1999, photographié par l’immense LaChapelle). Dès le troisième album Britney en 2001, la Barbie se fait de plus en plus hyper-sexuelle, hyper-érotique, c’est à ce moment-là que va commencer à se cristalliser l’imagerie qui fera de Britney une icône (comment oublier la prestation de Slave 4 U avec le boa aux VMA ?) mais à quel prix ? C’est à partir de cette période que le playback devient également de plus en plus présent. Les chorégraphies athlétiques à la Janet Jackson sont toujours au rendez-vous puisqu’elles ont fait sa renommée, mais Britney arrive-t-elle toujours aussi bien à mimer cette « fausse voix » ? Pas sûr, étant donné que la tournée Dream Within A Dream soutenant l’album et qui pour beaucoup reste son plus grand show, est quasiment entièrement en playback.

85e7ab9ded68739edc8ae86d460eec2a

Sur scène à Times Square en novembre 2003.

Si le suivant opus In The Zone connaît un succès moindre en termes de ventes, il va conforter Spears dans une consécration en tant qu’icône. Il contient son plus grand hit Toxic, ou encore un duo avec Madonna. C’est d’ailleurs durant cette ère que celle-ci lui passera le flambeau symboliquement en l’embrassant sur la scène des VMA en 2003, ainsi que Christina Aguilera. Mais aussi que Britney sera sacrée en obtenant son étoile à Hollywood. À l’apogée de sa carrière, ce qui attend pourtant Britney Spears n’est autre qu’une chute des plus vertigineuses. En 2004, Spears publie son premier best-of contenant des inédits comme une reprise de Bobby Brown, c’est aussi la même année qu’elle se marie. Deux fois : une à Sin City avant une annulation express après 55 heures. Une légende raconte qu’elle aurait épousé un ami d’enfance qu’elle aimait sincèrement et aurait voulu faire ce qu’elle aurait fait sans avoir connu le star-system. Puis une seconde fois avec le danseur Kevin Federline, ayant travaillé pour elle mais également Justin Timberlake, l’ex de Britney, l’amour de sa vie comme le veut une autre légende urbaine. L’interprète de Toxic et K-Fed auront droit à leur propre téléréalité, baptisée Chaotic – CQFD – qui sera assassinée par les critiques et choquera les plus puritains. Pourtant Britney n’a toujours pas quitté les studios d’enregistrement, elle a même un projet lui tenant particulièrement à cœur : Original Doll, l’album qui aurait dû faire un pied de nez à la « fausse voix », contenir des textes plus profonds, dénonçant notamment l’industrie et son expérience toxique (sans mauvais jeu de mots) dans le show-business. Britney ira même brandir, conquérante, ce qui, elle ne le sait pas encore, sera un mort-né musical, en se pointant chez Ryan Seacrest, à la radio, totalement à l’improviste. Avec une démo : Mona Lisa. Sans surprises, son label Jive Records lui coupera l’herbe sous le pied en tirant un trait sur son projet, même si certaines chansons sortiront officiellement comme celle citée précédemment. Beaucoup d’entre elles fuiteront progressivement sur la toile. À ce jour, la quasi-totalité du disque aurait atterri sur le net.

024

Spears à une station-service dans le quartier de Tarzana à Los Angeles, en février 2007.

K-Fed lui fera deux garçons : Jayden James et Sean Preston. Aujourd’hui, on raconte qu’ils auraient été violentés par leur grand-père, tuteur de leur mère. L’un d’entre eux, désormais adolescent, l’a d’ailleurs vivement insulté lors d’un live Instagram en mars dernier. C’est au moment où Britney est devenue mère que l’acharnement médiatique à son sujet a franchi des sommets inégalés, faisant d’elle la personnalité la plus traquée depuis Lady Di. Avant l’omniprésence des réseaux sociaux, c’était l’apogée de la presse de bas-étage et des paparazzos (qui étaient plusieurs dizaines à la suivre quotidiennement). La capacité de Britney à s’occuper de ses enfants était réellement remise en cause. On l’a vue conduire avec l’un de ses fils sur ses genoux sans la moindre protection mais aussi manquer carrément de le faire tomber la tête la première sur le goudron. C’est durant ce même laps de temps, courant 2006, qu’on assistera entre autres à ses larmes chez Matt Lauer, suppliant les paparazzis de la laisser tranquille. L’année suivante, la fameuse année 2007, sera celle qui aura pour conséquence ce qui se poursuit actuellement, en 2020. L’année de son crâne rasé bien sûr, ainsi que de la perte de la garde de ses enfants et des paris sur le moment de sa mort par exemple. Mais aussi, pourtant, de la parution de l’album qui est surnommé the pop bible pour souligner l’impact qu’il a eu dans le genre : Blackout. Sa promotion a été quasi-inexistante hormis une prestation rimant avec une humiliation publique aux VMA ou encore une interview radiophonique improbable. On se souvient également de la fameuse perruque rose, que Spears arborait en prenant un accent britannique – déclenchant des spéculations sur un potentiel trouble dissociatif de l’identité. Début 2008, alors qu’elle s’enferme dans sa salle de bains avec ses deux fils, elle est internée de force en hôpital psychiatrique, selon le code 5150, alors qu’elle est considérée comme étant potentiellement dangereuse pour les autres et/ou pour elle-même. On a souvent dit que Britney souffrait de bipolarité, autrefois appelée « maniaco-dépression ». Une énième légende urbaine voudrait que même si elle l’a déclaré elle-même dans un documentaire en 2013 (I Am Britney Jean), elle ne souffrirait d’aucun des troubles psychiatriques qu’on lui prête selon Tim Benson, un psychiatre de son entourage, décédé l’année dernière – à croire que son équipe l’aurait forcée à faire cette déclaration.

rtx70mt0

À la première du film Once Upon A Time In Hollywood de Quentin Tarantino à Los Angeles, en juillet 2019.

Dès l’été 2008, la marque Britney va progressivement renaître de ses cendres comme d’un coup de baguette magique. Son équipe, qu’elle soit professionnelle ou juridique arrive à duper le public. Britney sera même la tête d’affiche d’un soi-disant docu-vérité du nom de For the record, diffusé sur MTV, une façon pour son entourage de lui faire dire : « pardon j’ai été méchante, je vais me montrer bien obéissante désormais. ». Le tout est un malin stratagème malgré des moments de sincérité manifestes où Britney vomit sa souffrance. Le film fait à la fois la promotion de ce qui est vendu comme le disque de la rédemption et de la résurrection : Circus, et est une manière de faire en sorte que Spears « s’excuse » de son comportement passé : « désolé, je n’aurais pas dû sortir sans culotte en boîte avec Paris Hilton, alors que j’avais deux mômes au bercail. ». Elle est redevenue le sex-symbol d’antan, plus Barbie blonde sexy que jamais, elle a laissé de côté ses perruques peu flatteuses et extensions poisseuses de 2007 pour du sur-mesure, on croirait presque qu’elle a retrouvé sa crinière. Le public semble lui pardonner ce qu’il a perçu comme des erreurs et le succès commercial est de nouveau au rendez-vous. Britney semble tellement s’appliquer à se comporter convenablement qu’elle a l’air, soit d’une gosse qui a peur de faire une bêtise et qu’on la traumatise en retour, soit d’un automate. Ce qui donne l’impression que tôt ou tard, quelque chose va court-circuiter. Elle a toujours des aptitudes comme danseuse, chante toujours en playback en remuant les lèvres, synchronisées avec une voix qui ne ressemble probablement pas à la vraie, on s’en doute bien. Circus aura bien sûr droit à sa tournée, un show spectaculaire, véritable cirque façon Britney. Au rendez-vous ? Playback évidemment mais également chorégraphies sportives – que serait Britney Spears sans cela ? Elle semble s’amuser sur certaines dates, peut-être parce qu’elle se réjouit à l’approche de la fin de sa tutelle qui n’aura finalement pas lieu. Il existe d’ailleurs un message vocal désormais public laissé au 911, où on l’entend visiblement sous-entendre que son père la menacerait de la priver de ses enfants si elle quittait sa tutelle. Sur d’autres dates, on assiste à des moments de flemmardise scénique dont Internet raffole. Peut-être que Britney en a marre de son taf, peut-être que Britney en a marre d’être une marque. C’est dommage pour elle, puisque la recette va se répéter : avec l’album Femme Fatale en 2011, époque où Britney ressemble à un zombie (où est passée la sportive de la tournée Circus ?) selon certains elle serait littéralement droguée à des médicaments dont on ne connaît pas le nom. On presse le citron un peu plus en 2013, avec l’album Britney Jean (dont certaines chansons ne seraient même pas chantées par elle-même mais par un sosie vocal, la fameuse Myah Marie) et surtout, une résidence à Vegas à l’instar de Céline Dion appelée Britney : Piece Of Me. Cette initiative sera un succès commercial considérable, qui en tentera plus d’une : Mariah Carey se prêtera au jeu, sa pire ennemie Jennifer Lopez également, ou encore Christina Aguilera. Mais aussi des mecs, comme l’inoubliable Lionel Richie. Parallèlement à sa résidence dont le dernier lever de rideau aura lieu en 2017, Britney sort son dernier album en date en 2016, Glory. Il est une agréable surprise pour de nombreux fans et est considéré par certains d’entre eux comme son meilleur opus depuis Blackout. Manifestement, il semblerait qu’elle ait eu droit à plus de liberté dans son processus créatif. Elle fait plus de promo que d’ordinaire sans en faire autant que les artistes actuels comme Ariana Grande. Elle apparaît notamment dans le désormais culte Carpool Karaoke de James Corden. Elle profite également de sa résidence à Vegas pour intégrer des titres de Glory à son spectacle. Elle prouve malgré tout qu’elle semble avoir retrouvé grâce à sa résidence, des aptitudes en danse qu’elle semblait avoir quelque peu perdues durant l’époque Femme Fatale. Elle a chanté en live pour la dernière fois en 2017 à la surprise générale, et ça n’était pas pour chanter un titre de son catalogue mais une reprise d’un classique country de Bonnie Raitt - CQFD. Au moment de ses 20 ans de carrière en 2018, le spectacle Piece Of Me est exporté à l’international sous forme de tournée. Si Britney semble en forme physiquement, elle a toujours l’air d’un robot pour beaucoup, d’un petit soldat obéissant, que c’est comme l’a commenté un jour un internaute : « un autre jour au bureau pour Britney ». La suite on la connaît.

Lewis Kouassi

 

Publicité
Publicité
Commentaires
HOLY GOSSIP
Publicité
Visiteurs
Depuis la création 25 067
Ancienne adresse
Contact

holy_gossip@yahoo.com

Lewis, l'auteur

avatar (format réduit)

Publicité